Le fabliau du miroir

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Le palais de Saint-Pétersbourg brillait par-dessous la clarté vacillante des chandelles, illuminant les corridors où se murmuraient des énigmes à éviter. Parmi les salons ornés de dorures et de soie, une féminité se tenait seule destinées à un banquise colossale, drapé d’un store d’ombre. La rumeur courait que son regard ne se posait jamais sur son propre partie, mais sur une axiome indisctinct aux distincts. La voyance par téléphone, quand bien même exclusive aux pratiques confidentiels dans les salons feutrés, trouvait ici une autre forme d’intimité : celle d’un miroir qui murmurait à l’oreille d’une seule humeur. Les domestiques craignaient cette richesse où le silence semblait beaucoup épais, où l’air portait une tension inexplicable. La charitable passait des instants interminables destinées à le verre poli, effleurant la surface du fin des soi, cherchant des justifications qu’aucun économique ne pouvait lui présenter. Ce n’était pas un ample balle, mais une porte entrouverte sur un ailleurs qu’elle seule percevait. La voyance privée par téléphone, si prisée dans les cercles aristocratiques, n’égalait pas ce que lui révélait ce gel, où le destin se dessinait dans des ombrages fuyantes. Chaque nuit, les visions se précisaient. D’abord floues, elles prenaient forme larme à soupçon : un cavalier traversant une plaine enneigée, un carrosse sans inscrire filant à toute allure, un face pâle s’effaçant marqué par un intelligence glacé. Ces emblèmes venaient sans informer, émergent dans l’instant fugace où la lumière des bougies vacillait sur le support du cristal. Mais le symbole ne lui montrait pas incomparablement ce qu’elle désirait connaître. La voyance en privé, quand bien même occulte, exigeait une référence supérieure en celui qui transmettait le message. Mais pouvait-elle encore faire confiance à son sorbet ? Une nuit, tandis que le palais dormait marqué par la neige, elle vit pour finir ce qu’elle redoutait. Une formes drapée de velours vermeil, allongée sur un lit d’apparat, les yeux clos pour l’éternité. Le tsar, ferme, entouré de courtisans en deuil. Son humeur se suspendit. La pics s’effaça aussitôt, ne donnant qu’un beauté de lumière dans la glace polie. Le futur venait-il de émettre ? Ou bien le reflet commençait-il à lui mentir ?

La clarté vacillante des chandeliers jetait sur les murs du palais des obscurcissements mouvantes, notamment si elles dansaient au rythme du vacarme. Le banquise, lui, restait consistant, rayon figé d’une vérité trompeuse. Depuis une multitude de nuits, elle s’acharnait à en examiner les creux de la vague, espérant retrouver la netteté de ses premières visions. Mais plus elle s’obstinait, plus l’image lui échappait. La voyance par téléphone, simple et en direct, lui avait très brevets d'acquérir des réponses poussées, mais ici, les reflets du cristal s’évertuaient à la plonger dans l’incertitude. Les visions s’étaient faites plus capricieuses. Parfois, elle y distinguait la lignes du tsar, debout, obligeant, notamment figé dans une période qui ne s’était pas encore produit. Mais d’autres fois, ce n’était plus un espèce humaine qu’elle voyait, mais une chambre voyance olivier vide, un lit défait, une abstraction glaçante. Était-ce un évocation ou un leurre ? La voyance privée par téléphone, lorsqu’elle était exercée avec science, livrait des signaux compréhensibles, mais ici, le symbole devenait nos maître, jouant avec sa connaissance. Elle tentait de se fier aux particularités, d’analyser ce qui changeait, ce qui persistait. Pourtant, n'importe quel fois qu’elle pensait supporter un affirmation, il disparaissait aussitôt. Les contours du partie se distordaient imperceptiblement, une ligne devenait floue, une soupçon se déplaçait sans qu’elle ne puisse découvrir comment. Était-ce encore un instrument de consultation de voyance, ou une brèche rythmique des attributs qu’elle ne pouvait gérer ? La voyance en privé, exercée dans la solitude, pouvait révéler des réalités enfouies, mais pouvait-elle de plus pénétrer une porte sur des attributs qui ne aurait pu jamais représenter perçu ? Les servantes évitaient soudain la parure où trônait le reflet. Elles pressaient le pas en longeant les couloirs, détournant les yeux tels que si elles craignaient de croiser un regard qu’elles ne sont en mesure de lésiner. Le vent soufflait près de les vitraux, secouant doucement les rideaux de velours, et une pressentiment étrange s’imposa à elle : et si le symbole ne cherchait pas à lui présenter l’avenir, mais à l’y émoustiller ? Elle recula instinctivement, mais son radiation, lui, ne bougea pas. Ce qu’elle voyait n’était plus elle. C’était autre chose. Quelque étape qui, depuis très longtemps, l’attendait.

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